
Une nuit de l’année 1903, W.-C Handy somnolait dans une gare du Mississippi.
Son train était en retard.
Soudain il fut réveillé en sursaut : la vie venait de le saisir par les épaules.
Un Noir en haillons, les orteilles pointant de ses vielles chaussures, était en train de gratter sa guitare. Inlassablement, langoureusement il répétait la même phrase : “ Je m’en vais en route pour là où le Southern croise le dog.
Je m’en vais en route pour là où le Southern croise le dog. ”
L’air et la rythmique de cette chanson, W.-C Handy les gravera sur microsillon.
Ainsi est né, selon la légende, le blues cette musique pécheresse.
Ainsi est né la renommée de père du blues de W.-C. Handy.
Petit, sa mère lui avait prédit : “ Fils, tes larges oreilles sont une aptitude pour la musique. Tu sera un grand musicien.
Son train était en retard.
Soudain il fut réveillé en sursaut : la vie venait de le saisir par les épaules.
Un Noir en haillons, les orteilles pointant de ses vielles chaussures, était en train de gratter sa guitare. Inlassablement, langoureusement il répétait la même phrase : “ Je m’en vais en route pour là où le Southern croise le dog.
Je m’en vais en route pour là où le Southern croise le dog. ”
L’air et la rythmique de cette chanson, W.-C Handy les gravera sur microsillon.
Ainsi est né, selon la légende, le blues cette musique pécheresse.
Ainsi est né la renommée de père du blues de W.-C. Handy.
Petit, sa mère lui avait prédit : “ Fils, tes larges oreilles sont une aptitude pour la musique. Tu sera un grand musicien.