
Par une nuit de tempête qui faillit emporter son bateau, John Newton fut touché par la grâce du seigneur. Depuis cette nuit-là, il n'est pas un matin où il ne se reveille sans chanter des louanges au Seigneur que son équipage reprend aussitôt en choeur. Depuis cette nuit là, il n'est pas un repas qu'il prend sans avoir remercié " Notre père qui êtes aux cieux..." Il n'est pas un soir où il s'endort sans avoir demander à Dieux de veiller sur son navire.
Depuis cette nuit là, il est dans ses habitudes, quand il attend sur les côtes de Sierre Leone le chargement de son bateau de bois d'ébène, d'écrire des poèmes liturgiques qui commencent tous par : "qu'il est bon Jésus..."
Depuis cette nuit-là, à chacun de ses retours à Liverpool - après un détour par les Amériques où il vend son bois d'ébène - John Newton n'oublie jamais d'aller donner une prime spéciale à l'Eglise.
Depuis cette nuit là, il est dans ses habitudes, quand il attend sur les côtes de Sierre Leone le chargement de son bateau de bois d'ébène, d'écrire des poèmes liturgiques qui commencent tous par : "qu'il est bon Jésus..."
Depuis cette nuit-là, à chacun de ses retours à Liverpool - après un détour par les Amériques où il vend son bois d'ébène - John Newton n'oublie jamais d'aller donner une prime spéciale à l'Eglise.