
Raphaël Carrera aimait l'ordre et le pouvoir
Il regardait devant, derrière, à l'intérieur,
à l'extérieur, à droite, à gauche, en haut, en bas.
Il contrôlait tout.
Sa terre, il l'avait clôturée de peur et de torture.
Raphaël Carrera était plus rusé que la magie
et plus cruel que le massacre.
En règne, dans les maisons on parlait à voix basse et on pleurait en silence.
Ses yeux étaient si effrayants qu'ils transformaient en pièrre qui les croisait.
En face d'eux, même les dieux étaient saisis de peur.
Raphaël Carrera aimait l'ordre et le pouvoir.
Il interdit lyres et lettres qui pouvaient redresser les courages.
Il castra son peuple.
Il regardait devant, derrière, à l'intérieur,
à l'extérieur, à droite, à gauche, en haut, en bas.
Il contrôlait tout.
Sa terre, il l'avait clôturée de peur et de torture.
Raphaël Carrera était plus rusé que la magie
et plus cruel que le massacre.
En règne, dans les maisons on parlait à voix basse et on pleurait en silence.
Ses yeux étaient si effrayants qu'ils transformaient en pièrre qui les croisait.
En face d'eux, même les dieux étaient saisis de peur.
Raphaël Carrera aimait l'ordre et le pouvoir.
Il interdit lyres et lettres qui pouvaient redresser les courages.
Il castra son peuple.