Le réalisateur de cette série très attendue, n’est autre que le guadeloupéen Jean-Claude Flamand Barny qui s’est fait connaître avec le film Neg Marrons, œuvre peu convaincante au moins du point de vue du rapport aux esclaves fugitifs suggéré par le titre d’un film totalement contemporain…
Ce qui est certain c’est qu’à Pointe-à-Pitre le recrutement des comédiens a commencé et les candidats sont priés de s’adresser à l’Asca, une structure associative de création d’activité. En effet des jeunes comédiens débutants pourront se faire bizuter sur cette série consacrée à la vie dans les Antilles françaises à l’époque de la Révolution française et de l’esclavage.
La polémique semble aussi promise à un bel avenir chez les dieudonnistes qui s’indignent de ce que le film sur le Code noir proposé par le comédien Dieudonné Mbala Mbala ait été rudement renvoyé aux calendes grecques et qu’un frère presque jumeau du projet ressorte des cartons quelques mois plus tard… L’humoriste et trublion en moins dans le casting final, trouvez l’erreur.
Il demeure que l’histoire de l’esclavage et de la traite négrière s’imposant progressivement dans l’histoire de France, plusieurs projets ont vocation, à terme, à aborder cette période historique traumatisante et simultanément fondatrice de la république contemporaine, des Outre-Mers. Il n’y aura pas de film, de livre, de série télévisée uniques, dictés par une loi autocratique, comme l’effrayante loi du 23 février 2005.
Au contraire il revient aux artistes, chanteurs, musiciens, plasticiens, créatifs, saisis du travail des historiens rigoureux et de bonne foi, de refabriquer la société, ses représentations du noir, du nègre, de l’histoire coloniale, du vivre-ensemble.
Pour l’heure on ose espérer que le scénario ne sera pas écrit par un Pétré-Grenouilleau caché derrière la mélanine d’un Pape N’Diaye, et qu’on échappera à un remix de Depardieu à la sauce créole de De Gaulle, de Christophe Colomb, d’Astérix…
Source Afrikara.com
Ce qui est certain c’est qu’à Pointe-à-Pitre le recrutement des comédiens a commencé et les candidats sont priés de s’adresser à l’Asca, une structure associative de création d’activité. En effet des jeunes comédiens débutants pourront se faire bizuter sur cette série consacrée à la vie dans les Antilles françaises à l’époque de la Révolution française et de l’esclavage.
La polémique semble aussi promise à un bel avenir chez les dieudonnistes qui s’indignent de ce que le film sur le Code noir proposé par le comédien Dieudonné Mbala Mbala ait été rudement renvoyé aux calendes grecques et qu’un frère presque jumeau du projet ressorte des cartons quelques mois plus tard… L’humoriste et trublion en moins dans le casting final, trouvez l’erreur.
Il demeure que l’histoire de l’esclavage et de la traite négrière s’imposant progressivement dans l’histoire de France, plusieurs projets ont vocation, à terme, à aborder cette période historique traumatisante et simultanément fondatrice de la république contemporaine, des Outre-Mers. Il n’y aura pas de film, de livre, de série télévisée uniques, dictés par une loi autocratique, comme l’effrayante loi du 23 février 2005.
Au contraire il revient aux artistes, chanteurs, musiciens, plasticiens, créatifs, saisis du travail des historiens rigoureux et de bonne foi, de refabriquer la société, ses représentations du noir, du nègre, de l’histoire coloniale, du vivre-ensemble.
Pour l’heure on ose espérer que le scénario ne sera pas écrit par un Pétré-Grenouilleau caché derrière la mélanine d’un Pape N’Diaye, et qu’on échappera à un remix de Depardieu à la sauce créole de De Gaulle, de Christophe Colomb, d’Astérix…
Source Afrikara.com