
« J’ai toujours su qu’un jour Madame Queen (Queenie pour les intimes) s’évaporerait. Que Stéphanie St-Clair se soustrairait à la vue du monde. Il ne s’agirait ni de subite disparition, ni de fuite éperdue, ni même de s’échapper-descendre dans la folie douce (celle que d’aucuns, dans ma Martinique natale, attribuent à la fourmi-manioc), mais d’une manière d’effacement. »
Ainsi commence le nouveau roman du Martiniquais Raphaël Confiant, Madame St-Clair, Reine de Harlem, qui nous conte l’histoire de Stéphanie St-Clair (1886-1969), une chef de gang ayant dirigé plusieurs entreprises criminelles à Harlem, résistant un temps à la mafia avant de s’y soumettre. Originaire de la Martinique, elle était connue) à New York sous le nom de « Queenie », « petite reine ».
Madame St-Clair, reine de Harlem,
de Raphaël Confiant
éd. Mercure de France
338 pages, 19,50 €
à paraître le 3 septembre.
Ainsi commence le nouveau roman du Martiniquais Raphaël Confiant, Madame St-Clair, Reine de Harlem, qui nous conte l’histoire de Stéphanie St-Clair (1886-1969), une chef de gang ayant dirigé plusieurs entreprises criminelles à Harlem, résistant un temps à la mafia avant de s’y soumettre. Originaire de la Martinique, elle était connue) à New York sous le nom de « Queenie », « petite reine ».
Madame St-Clair, reine de Harlem,
de Raphaël Confiant
éd. Mercure de France
338 pages, 19,50 €
à paraître le 3 septembre.