
Vite enchaînez-le-moi à cet arbre.
Qu’on apporte le bois, entassez-le autour de lui.
Doucement, pas si vite on perdrait le spectacle
de la douleur et de la peur sur son visage.
Et maintenant la torche.
Ha ! Ha ! Ha !
Le bon bois, les flammes.
Ah ! Entendez ce cri sauvage.
Qu’il est sauvage, vite apportez de l’eau. Versz-en un peu sur le feu,
qu’il ne brûle pas trop vite.
Qu’il brûle doucement.
Voyez il se tord, gémit...
Ses yeux s’écarquillent follement cherchant en vain autour de lui une aide.
Rien que des cagoules portant partout trois lettres lugubres
KKK.
Qu’on apporte le bois, entassez-le autour de lui.
Doucement, pas si vite on perdrait le spectacle
de la douleur et de la peur sur son visage.
Et maintenant la torche.
Ha ! Ha ! Ha !
Le bon bois, les flammes.
Ah ! Entendez ce cri sauvage.
Qu’il est sauvage, vite apportez de l’eau. Versz-en un peu sur le feu,
qu’il ne brûle pas trop vite.
Qu’il brûle doucement.
Voyez il se tord, gémit...
Ses yeux s’écarquillent follement cherchant en vain autour de lui une aide.
Rien que des cagoules portant partout trois lettres lugubres
KKK.