
Est-il un homme qui n’a jamais soupiré pour libérer le prisonnier ?
Est-il un homme qui n’a jamais aimé les douceurs de la liberté ‘
Que celui-là respire, invisible, étendu dans un cachot.
Et ne connaisse jamais, jamais les douceurs de la liberté.
Est-il un coeur d’homme si froid qu’il souhaite les chaînes si dures ?
Est-il une âme si basse qui s’abaisse pour devenir esclave ?
Que celui-là soit asservi, qu’il vive dans le chaînes du servage.
Et ne connaisse jamais, jamais les douceurs de la liberté
Est-il au monde une poitrine si glacée dont le souffle soit d’un lâche ?
est-il une créature si vile qui ne mourrait pour la liberté ?
Oh ! qu’il soit alors voué à ramper, là où seuls vivent les reptiles.
Et ne connaissent jamais, jamais les douceurs de la liberté.
Est-il un homme qui n’a jamais aimé les douceurs de la liberté ‘
Que celui-là respire, invisible, étendu dans un cachot.
Et ne connaisse jamais, jamais les douceurs de la liberté.
Est-il un coeur d’homme si froid qu’il souhaite les chaînes si dures ?
Est-il une âme si basse qui s’abaisse pour devenir esclave ?
Que celui-là soit asservi, qu’il vive dans le chaînes du servage.
Et ne connaisse jamais, jamais les douceurs de la liberté
Est-il au monde une poitrine si glacée dont le souffle soit d’un lâche ?
est-il une créature si vile qui ne mourrait pour la liberté ?
Oh ! qu’il soit alors voué à ramper, là où seuls vivent les reptiles.
Et ne connaissent jamais, jamais les douceurs de la liberté.