
La marche des femmes
La menace, la peur, la prison, la torture avaient rendu les hommes muets de stupeur.
Comme la vaillance les femmes nouèrent leurs pagnes autour de leurs reins.
Elles n’avaient pas d’armes ni de pierres dans leurs mains.
Elles n’avaient que leurs coeurs ardents de tendresse et leurs voix plus fortes que la tyyrannie.
Pour défendre la vie, pour ouvrir les portes des prisons, pour que les enfants aient un avenir, elles firent un pas, deux pas, trois pas, dees pas, des pas contre les pass.
Et la liberté retrouva ses ailes mystérieuses, Et les hommes reprirent courage.
Comme la vaillance les femmes nouèrent leurs pagnes autour de leurs reins.
Elles n’avaient pas d’armes ni de pierres dans leurs mains.
Elles n’avaient que leurs coeurs ardents de tendresse et leurs voix plus fortes que la tyyrannie.
Pour défendre la vie, pour ouvrir les portes des prisons, pour que les enfants aient un avenir, elles firent un pas, deux pas, trois pas, dees pas, des pas contre les pass.
Et la liberté retrouva ses ailes mystérieuses, Et les hommes reprirent courage.