Brother man,
ce frère quand il écrit sa main se contracte, s’ouvre, roule, glisse, swingue ; s’ enflamme d’amour ou de colère; se constelle d’étoiles ou de soleil ; s’allume de malice ou s’emporte en délicieuses histoires très flâneuses. Et parfois soudain elles s’arrête. Yeah man !
Du crayon, elle va vers la tête. c’est la difficile tournure, l’impossible nuance de couleur ou d’odeur. Comment l’écrire ? Sur sa table, les pieds ancrés dans les Caraïbes, ainsi naît son universelle poésie.
Brother man !
ce frère quand il écrit sa main se contracte, s’ouvre, roule, glisse, swingue ; s’ enflamme d’amour ou de colère; se constelle d’étoiles ou de soleil ; s’allume de malice ou s’emporte en délicieuses histoires très flâneuses. Et parfois soudain elles s’arrête. Yeah man !
Du crayon, elle va vers la tête. c’est la difficile tournure, l’impossible nuance de couleur ou d’odeur. Comment l’écrire ? Sur sa table, les pieds ancrés dans les Caraïbes, ainsi naît son universelle poésie.
Brother man !