Engagée avec la jeunesse, Jussie, avec une générosité hors du commun, transmet son savoir-faire et son amour pour l’art aux enfants et aux jeunes. D’un côté en tant que professeur d’arts plastiques dans une école congolaise et de l’autre elle anime des ateliers d’illustration, de peinture et de bande dessinée dans ses stages artistiques pour les enfants et les jeunes dans son espace Nsan’Arts.
Engagée avec la réalité des femmes africaines, Jussie réalise, en 2012, avec deux autres jeune artistes congolais, une B.D., “Chroniques de Brazzaville”, où elle démontre un étonnant sens de la narration et montre librement la situation qui arrive souvent aux jeunes femmes séduites et abandonnées dans les villes en Afrique.
BIMBAMBOUKILA (les souvenirs), première vidéo de Jussie Nsana pose le problème de la mémoire. Ce film est une manière pour l’artiste de figer le temps et de le conserver dans sa mémoire, selon la critique artistique de Annette Kouamba Matondo. Jussie s’engage cette fois-ci avec le problème de conservation du patrimoine architectural.
Avec TELA (la goutte en lari), en 2013, l’artiste gagne le 1er prix vidéo de la 2ème rencontre internationale d’artistes aux ateliers Sahm, centre d’art contemporain à Brazzaville. D’après le regard critique de Job Olivier, Nsana fait communiquer vidéo et danse, corps humain et éléments physiques. “Tela” est une sorte de “Glo” ou danse de réjouissance. Jussie s’ y engage avec joie.
Maintenant Jussie s’engage avec soi-même dans BUTSIÉLÉ, sa troisième exposition individuelle de peinture. Sa maturité artistique et son parcours lui ont permis de préparer sans peur une série de toiles où ses sentiments, ses rencontres son vécu et tout ce qui l’interpelle dans ce monde prennent forme avec ses pinceaux et ses acryliques.
Elle s’expose encore à la critique après des mois de travail et de réflexion. Elle exprime librement son engagement dans le monde. « Je signe des œuvres qui, d’abord, représentent un autre moi, un nouveau moi, qui longtemps est resté dans la recherche d’une identité. Une identité qui s’affirme avec des œuvres beaucoup plus contemporaines, et l’on peut donc dire « Butielé », c’est l’ éveil !”, nous confie Jussie.
Engagée avec la réalité des femmes africaines, Jussie réalise, en 2012, avec deux autres jeune artistes congolais, une B.D., “Chroniques de Brazzaville”, où elle démontre un étonnant sens de la narration et montre librement la situation qui arrive souvent aux jeunes femmes séduites et abandonnées dans les villes en Afrique.
BIMBAMBOUKILA (les souvenirs), première vidéo de Jussie Nsana pose le problème de la mémoire. Ce film est une manière pour l’artiste de figer le temps et de le conserver dans sa mémoire, selon la critique artistique de Annette Kouamba Matondo. Jussie s’engage cette fois-ci avec le problème de conservation du patrimoine architectural.
Avec TELA (la goutte en lari), en 2013, l’artiste gagne le 1er prix vidéo de la 2ème rencontre internationale d’artistes aux ateliers Sahm, centre d’art contemporain à Brazzaville. D’après le regard critique de Job Olivier, Nsana fait communiquer vidéo et danse, corps humain et éléments physiques. “Tela” est une sorte de “Glo” ou danse de réjouissance. Jussie s’ y engage avec joie.
Maintenant Jussie s’engage avec soi-même dans BUTSIÉLÉ, sa troisième exposition individuelle de peinture. Sa maturité artistique et son parcours lui ont permis de préparer sans peur une série de toiles où ses sentiments, ses rencontres son vécu et tout ce qui l’interpelle dans ce monde prennent forme avec ses pinceaux et ses acryliques.
Elle s’expose encore à la critique après des mois de travail et de réflexion. Elle exprime librement son engagement dans le monde. « Je signe des œuvres qui, d’abord, représentent un autre moi, un nouveau moi, qui longtemps est resté dans la recherche d’une identité. Une identité qui s’affirme avec des œuvres beaucoup plus contemporaines, et l’on peut donc dire « Butielé », c’est l’ éveil !”, nous confie Jussie.