Un couple franco-belge séjourne à Copenhague dans une famille dont l’époux est originaire du Nigéria. La Belge et le Nigérian portent une archéologie migrante singulière : le souvenir de la terre d’origine déterre des émotions enfouies. Une jeune femme médite, le jour de la journée internationale de la femme, sur ses détresses et désespoirs dans un monde où il faut presque se vendre pour exister. Entre le sexe, le mariage, et l’amour, elle laisse entrevoir que souvent tout n’est que question d’intérêt dans la vie. La troisième nouvelle présente un jeune adolescent à la quête de ses racines.
Que ce soit à Copenhague, Kinshasa, Arlon, Abuja, Yaoundé, Gatineau ou Brazzaville, les questionnements autour de l’immigration, de l’identité, de l’intégration ou de l’exil demeurent les mêmes. Chaque personnage de ses trois nouvelles nous enseigne que s’exiler n’est pas toujours commode. Parfois égarés, mais toujours captivants, ils remuent ciel et terre pour exister.
Que ce soit à Copenhague, Kinshasa, Arlon, Abuja, Yaoundé, Gatineau ou Brazzaville, les questionnements autour de l’immigration, de l’identité, de l’intégration ou de l’exil demeurent les mêmes. Chaque personnage de ses trois nouvelles nous enseigne que s’exiler n’est pas toujours commode. Parfois égarés, mais toujours captivants, ils remuent ciel et terre pour exister.