
Edward Wilmot Blyden
Blyden aimait l’Afrique jusqu’à l’idolâtrie.
Il plongea sa main dans la mémoire du continent,
palpa ses chauds recoins et ses replis pour recueillir le battement confus de sa grandeur et de sa douleur : “ Il est l’heure Afrique, ne cessa t-il alors de répéter, de semer les racines et de les orienter vers le ciel.
Car n’oublie pas : qui veut puissance et gloire demande à l’avenir son pouvoir. “
Il plongea sa main dans la mémoire du continent,
palpa ses chauds recoins et ses replis pour recueillir le battement confus de sa grandeur et de sa douleur : “ Il est l’heure Afrique, ne cessa t-il alors de répéter, de semer les racines et de les orienter vers le ciel.
Car n’oublie pas : qui veut puissance et gloire demande à l’avenir son pouvoir. “