Il y a deux façons de comprendre la SAPE. D’un côté il y a la SAPE façon Kinshasa qui est spectaculaire, extravertie et théâtrale. On se croirait en plein opéra baroque. De l’autre côté la SAPE à Brazzaville plus classique, bureaucratique et conformiste il s’agit de l’élégance à l’anglaise. Cela explique les différences de comportements vestimentaires des deux peuples riverains.
« Pour moi la SAPE renvoie à un échange culturel et au dialogue des peuples sur le sujet du vêtement, de l’accoutrement, prétexte idéal pour un brassage des cultures. Mon art exprime la face cachée de la SAPE, mon graphisme est puéril et innocent un peu comme si la SAPE était un jeu d’enfants auquel se livrent les Sapeurs, ils sont capable de dilapidé 99% de leurs revenu rien que pour se saper. La SAPE est devenu une religion à Kinshasa. C’est pour quoi je me suis mis à peindre sur la SAPE. Ma peinture est comme une fresque brossée non sans une pointe de cynisme de la société kinoise contemporaine ».
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« Pour moi la SAPE renvoie à un échange culturel et au dialogue des peuples sur le sujet du vêtement, de l’accoutrement, prétexte idéal pour un brassage des cultures. Mon art exprime la face cachée de la SAPE, mon graphisme est puéril et innocent un peu comme si la SAPE était un jeu d’enfants auquel se livrent les Sapeurs, ils sont capable de dilapidé 99% de leurs revenu rien que pour se saper. La SAPE est devenu une religion à Kinshasa. C’est pour quoi je me suis mis à peindre sur la SAPE. Ma peinture est comme une fresque brossée non sans une pointe de cynisme de la société kinoise contemporaine ».
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