
Castro Soromenho
Il va, il va
il se consume,
Sa terre est bariolée de cicatrices.
Il est, il est tempête.
Souvent il gronde et les consciences tranquilles tremblent.
Errant à travers pays et continents, il appelle.
Il appelle humains et humains, silence et désert,
quelqu’un et quelque chose :
“ Rendez- moi ma terre . “
L’exil aura sa peau.
il se consume,
Sa terre est bariolée de cicatrices.
Il est, il est tempête.
Souvent il gronde et les consciences tranquilles tremblent.
Errant à travers pays et continents, il appelle.
Il appelle humains et humains, silence et désert,
quelqu’un et quelque chose :
“ Rendez- moi ma terre . “
L’exil aura sa peau.