La république du Congo et la Chine, à travers le financement de l'industrialisation par la Banque de développement de Chine, au niveau des zones économiques spéciales, renforcent leur coopération.
Une délégation de cette banque a eu des entretiens féconds avec la partie congolaise.
Zhu Liqun, gouverneur de la province de Jiangsi, qui dirige la délégation chinoise, et Jean Jacques Bouya, délégué général des grands travaux du Congo, ont exprimé leur volonté d'instaurer un partenariat stratégique.
La Chine est déjà engagée dans plusieurs chantiers (construction de la cité de l'Union africaine, un hôtel de grand standing, des salles de conférence, à hauteur de 15 millions $).
Avant la fin de l'année 2010, le Congo sera en mesure de produire 75% de ses besoins en électricité, grâce à la réalisation d'une usine thermique à Brazzaville et d'une centrale hydroélectrique à Imboulou.
Les responsables du secteur ont assuré que d'ici à 2012 le réseau électrique du pays passera de 700 km à 1500 km, couvrant ainsi la plupart des grandes villes du pays.
Sur le barrage d'Imboulou (120 MW à terme, 60 MW déjà disponibles), trois turbines sur quatre ont déjà été construites. Deux sont déjà opérationnelles, avec une capacité de production de 30 MW chacune.
Une délégation de cette banque a eu des entretiens féconds avec la partie congolaise.
Zhu Liqun, gouverneur de la province de Jiangsi, qui dirige la délégation chinoise, et Jean Jacques Bouya, délégué général des grands travaux du Congo, ont exprimé leur volonté d'instaurer un partenariat stratégique.
La Chine est déjà engagée dans plusieurs chantiers (construction de la cité de l'Union africaine, un hôtel de grand standing, des salles de conférence, à hauteur de 15 millions $).
Avant la fin de l'année 2010, le Congo sera en mesure de produire 75% de ses besoins en électricité, grâce à la réalisation d'une usine thermique à Brazzaville et d'une centrale hydroélectrique à Imboulou.
Les responsables du secteur ont assuré que d'ici à 2012 le réseau électrique du pays passera de 700 km à 1500 km, couvrant ainsi la plupart des grandes villes du pays.
Sur le barrage d'Imboulou (120 MW à terme, 60 MW déjà disponibles), trois turbines sur quatre ont déjà été construites. Deux sont déjà opérationnelles, avec une capacité de production de 30 MW chacune.