Une palette d’artistes comédiens venus de tous les horizons a participé à cette 3ème édition. Au nombre d’eux, on peut citer julien Bissila du Congo qui a interprété avec brio la coupe du monde 2080, Eric Mitcheke du Togo qui a interprété une tasse de pluie, le dialogue compagnie Tam-tam de Kinshasa la capitale voisine, le théâtre Oshumare de Porto novo qui a interpreté ‘ Dans l’univers du fou’ de Patrick NOUKPO, le chauffeur du maître de Guillaume EKOUME, du Cameroun, L’ignorance interprété par Closardo et les ririclos du Congo …
Un autre temps qui a ému les participants, c’est la conférence animée par l’écrivain Jean Léopold NGOULOU, directeur du festival Toej basé à Pointe-noire la capitale économique du Congo et en même temps secrétaire de l’Institut Internationale du Théâtre (I.S.T) sur le thème : Rire : pour rire et pour ne pas rire.
Invitée à l’émission Cultura de la Télévision Congolaise, animée par notre confrère Sauve Gérard NGOMA, Lauryathe Cephyse BIKOUTA, présidente de l’UFAC, journaliste et actuellement chargée de la Communication au CCF de Brazzaville, a promis présenter aux amoureux du rire un festival exceptionnel avec des gammes variées.
On peut dire sans fausse modestie que la 3è édition a tenue ses promesses puisqu’en dehors de ces activités, les festivaliers ont eu droit à plusieurs expositions comme celles relatives à la promotion et à la vente de Mbongui BD, la première revue de BD réalisée par l’Association Congolaise pour la Promotion de la Bande Dessinée( ACPBD). Et aux animations culturelles, lectures publiques et causeries débats sur les histoires vécues à la Maison des Jeunes et de la Culture (M.J.C).
Concernant cette initiative et les difficultés relatives à l’organisation de ce festival, Lauryathe Céphyse Bikouta a déclaré (… dans un pays où l’initiative culturelle exige persévérance et ténacité. Il ne faut pas céder, c’est pourquoi, nous faisons en sorte que le rire prenne le dessus sur nos déceptions)
Oui, le rire a permis aux brazzavillois d’oublier les aléas de la vie quotidienne.
Mathurine BOUPINDOU, étudiante en 1ère année de Droit n’a pas caché ses émotions en déclarant avec timidité : (vraiment j’ai beaucoup ri avec leurs histoires là...).
L’écrivain martiniquais André Swartz-Bartz, en déclarant que le rire c’est l’arme des pauvres n’avait pas du tout tort, car à défaut de pleurer et de crier à tue tête sa misère, le rire a permis aux africains de dire leurs maux et leurs mots pour que demain change en afrique.
Fresnel BONGOL TSIMBA
Correspondant permanent de basango.com au Congo
Un autre temps qui a ému les participants, c’est la conférence animée par l’écrivain Jean Léopold NGOULOU, directeur du festival Toej basé à Pointe-noire la capitale économique du Congo et en même temps secrétaire de l’Institut Internationale du Théâtre (I.S.T) sur le thème : Rire : pour rire et pour ne pas rire.
Invitée à l’émission Cultura de la Télévision Congolaise, animée par notre confrère Sauve Gérard NGOMA, Lauryathe Cephyse BIKOUTA, présidente de l’UFAC, journaliste et actuellement chargée de la Communication au CCF de Brazzaville, a promis présenter aux amoureux du rire un festival exceptionnel avec des gammes variées.
On peut dire sans fausse modestie que la 3è édition a tenue ses promesses puisqu’en dehors de ces activités, les festivaliers ont eu droit à plusieurs expositions comme celles relatives à la promotion et à la vente de Mbongui BD, la première revue de BD réalisée par l’Association Congolaise pour la Promotion de la Bande Dessinée( ACPBD). Et aux animations culturelles, lectures publiques et causeries débats sur les histoires vécues à la Maison des Jeunes et de la Culture (M.J.C).
Concernant cette initiative et les difficultés relatives à l’organisation de ce festival, Lauryathe Céphyse Bikouta a déclaré (… dans un pays où l’initiative culturelle exige persévérance et ténacité. Il ne faut pas céder, c’est pourquoi, nous faisons en sorte que le rire prenne le dessus sur nos déceptions)
Oui, le rire a permis aux brazzavillois d’oublier les aléas de la vie quotidienne.
Mathurine BOUPINDOU, étudiante en 1ère année de Droit n’a pas caché ses émotions en déclarant avec timidité : (vraiment j’ai beaucoup ri avec leurs histoires là...).
L’écrivain martiniquais André Swartz-Bartz, en déclarant que le rire c’est l’arme des pauvres n’avait pas du tout tort, car à défaut de pleurer et de crier à tue tête sa misère, le rire a permis aux africains de dire leurs maux et leurs mots pour que demain change en afrique.
Fresnel BONGOL TSIMBA
Correspondant permanent de basango.com au Congo